La seconde vie des friches industrielles
En France, les projets de réhabilitation de quartiers sinistrés se multiplient, en particulier dans la moitié nord du pays, où les usines fantômes sont encore nombreuses. Dépollution des sols, aménagement de l’espace, vente des nouveaux terrains… Le processus prend du temps et exige que les équipes municipales bénéficient de suffisamment de temps pour mener l’opération jusqu’au bout. Mais malgré l’ampleur du chantier, la réhabilitation d’anciens bâtiments industriels est souvent rentable. « Un euro de financement conduit en moyenne à six euros venant des investisseurs privés, entreprises ou promoteurs immobiliers », explique Laurent Théry, ancien directeur de la société mixte d’aménagement de Nantes, dans les colonnes de Libération. En septembre, le quotidien a justement visité trois chantiers de réhabilitation d’anciennes usines en périphérie de Nantes, Lille et Saint-Étienne.
Lire l’article sur le site de Libération