Best of « Vivre la ville » : découvrez les 10 articles les plus lus (1/2)
Durant l’été, Demain la ville vous propose son Best of ! De la mobilité urbaine en passant par les phénomènes urbains tels que les « shrinking cities » ou la désertification des centres villes, la rubrique « Vivre la ville » vous fait découvrir les grandes tendances de la vie urbaine. Retour sur 5 articles du blog :
Réinventer le plan de métro : le pourquoi du comment, par [pop-up] urbain.
Les moyens et les façons de se déplacer en ville se sont vivement diversifiés – voire complexifiés, n’ayons pas peur de le dire. Dans ces conditions, le « plan » de transport revêt une importance fondamentale, principal référent des nomades urbains dans leurs pérégrinations quotidiennes. Symbole suprême de la « simplexité » qui caractérise nos villes modernes, le plan de métro essuie naturellement les attentions d’innovateurs multiples. Designers, géographes et même artistes cherchent en conséquence à mieux adapter cet indispensable outil aux réalités contemporaines de la « ville en flux ».
Comment dynamiser nos centres villes désertés ?, par Usbek & Rica
Olivier Razemon est journaliste et auteur d’un blog intitulé « L’interconnexion n’est plus assurée, chronique impatiente de la mobilité quotidienne » pour Le Monde. Il a publié deux ouvrages aux éditions Rue de l’Échiquier, Le Pouvoir de la pédale et La Tentation du bitume. Dans son prochain livre Comment la France a tué ses villes qui sortira en octobre 2016, aux éditions Rue de l’Echiquier, le journaliste explique comment les centres-villes français se sont vidés et propose des pistes pour les redynamiser. Demain la Ville l’a rencontré.
Dans les coulisses des villes qui rétrécissent, par [pop-up] urbain.
Il est un phénomène urbain dont on parle peu, et qui pourtant risque d’être de plus en plus prégnant avec le temps. A l’heure où tous les regards sont braqués sur les grandes métropoles globalisées, certaines villes prennent en effet le chemin inverse. A cause de crises économiques ou démographiques, ces villes… rétrécissent presque littéralement. Un drame urbain qui méritait un coup de projecteur, car c’est peut-être le futur annoncé de notre Europe vieillissante…
Les contradictions de l’urbanisation globale du monde, selon Michel Lussault, par Lumières de la Ville.
Le mardi, place Saint-Germain-des-Prés, se tient un rendez-vous secret. Les Mardis de la Philo organise des conférences philosophiques afin « de mettre une pensée philosophique à la portée de non philosophes ». Au programme, « Albert Camus, vivre sans appel », « Le principe solidarité », « S’instruire et rêver avec Bachelard », « Philosophie de l’identité »… mais aussi, « Le Devenir urbain du monde » et « La Ville dans la pensée contemporaine ». Ce sont ces deux derniers thèmes, animés par le duo explosif Thierry Paquot – philosophe – et Michel Lussault – géographe – qui nous ont évidemment intéressés.
La ville asseyable, une utopie à (re)construire par [pop-up] urbain.
Existe-t-il plaisir plus simple et plus urbain que de s’asseoir en ville ? Si le banc public est l’objet de toutes les louanges publiques (on ne vous fera pas l’affront de vous citer Brassens), il reste paradoxalement un objet méconnu de l’urbain. L’apparition toute récente d’un nouveau type de mobilier dans les rues de Paris, initié par JC Decaux, nous offre l’occasion de revenir sur ce passionnant sujet : comment redonner ses lettres de noblesse à l’utopie d’une « ville asseyable » ?